2010-10-3 08:41
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[French] Renée Martel - Un amour qui ne veut pas mourir (2008) [Chanson]
<img src="http://ecx.images-amazon.com/images/I/511U3wIZnsL.jpg" onload="attachimg(this, 'load', 'Click here to open new window\nCTRL+Mouse wheel to zoom in/out')" onmouseover="attachimg(this, 'mouseover')" onclick="attachimg(this, 'click', 'http://ecx.images-amazon.com/images/I/511U3wIZnsL.jpg')" onmousewheel="return imgzoom(this)" alt="" border="0"><br><br> <br><font face="Courier New"> Artist ....: Renée Martel <br> Album .....: Un amour qui ne veut pas mourir <br> Genre .....: Chanson <br> Label .....: Digimusic.com <br> Catalog # .: DIGI2-2119 <br> Language ..: French <br> <br> Source ....: CDDA <br> Encoder ...: LAME v3.97 <br> Size ......: 45,6 MB <br> <br> Rel. date .: 10.02.2010 <br> Str. date .: 06.23.2008 <br> <br> <a href="http://www.reneemartel.ca/" target="_blank">http://www.reneemartel.ca/</a> <br> <br> [ TRACK LiST ] <br> <br> NB TRACKNAMES: LENGHT: <br> <br> 01. Un Coin Du Ciel 00:54 <br> 02. Simple Pa ager 02:10 <br> 03. Liverpool 02:44 <br> 04. Je Vais à Londres 02:13 <br> 05. Prends Ma Main 01:06 <br> 06. Nos Jeux D'enfants 01:09 <br> 07. Mon Roman D'amour 02:57 <br> 08. Un Amour Qui Ne Veut Pas Mourrir 03:26 <br> 09. Crazy 02:49 <br> 10. Si On Pouvait Recommencer 03:10 <br> 11. Donne-Moi Un Jour 00:56 <br> 12. Cowgirl Dorée 03:02 <br> 13. Darling 02:33 <br> 14. You Cheatin' Heart 01:40 <br> 15. C'est Mon Histoire 03:29 <br> 34:18 min <br> <br> <br> [ RELEASE NOTES: ] <br> <br> <br> Dès son plus jeune âge, Renée Martel se familiarise avec la <br> scène, la télévision et les studios d'enregistrement. Son père, <br> le chanteur Marcel Martel l'invite fréquemment à son émi ion <br> hebdomadaire à la station CHLT-TV de Sherbrooke et l'amène en <br> tournée à travers le Québec et tout l'est du continent <br> nord-américain. Sa mère Noëlla Therrien, chanteuse réputée, <br> l'encourage également à développer ses talents vocaux. Encore <br> adolescente, elle grave quelques reprises de chansons <br> populaires, devenues aujourd'hui introuvables, sur les <br> étiquettes Météor et Match. En 1966 elle commence à se produire <br> en spectacle avec ses propres musiciens, sous le nom de Renée & <br> The Silverboys, et effectue de fréquents séjours dans la <br> métropole, alors en pleine effervescence. <br> <br> L'été suivant, elle se joint à l'équipe des disques DSP dont les <br> artistes-vedettes comme Les Sultans, Éric, Claire Lepage ou les <br> Aristos ont le vent dans les voiles. La vague « Yé-Yé » est <br> alors à son plus fort, si bien que plusieurs jeunes garçons et <br> filles deviennent vedettes du jour au lendemain. Pour sa part, <br> Renée est déjà une pro lorsqu'elle connaît son premier succès <br> sur disque avec « Liverpool ». La chanson est suivie de « Je <br> vais à Londres », deux références indirectes à la trajectoire <br> des Beatles, les héros des années soixante sur le plan musical. <br> Comme la majorité des artistes de sa génération, Renée grave à <br> quelques reprises des adaptations de chansons du célèbre <br> quatuor: « Entre tes bras» (Good Day Sunshine), « Goodbye » et <br> surtout « Un certain soir», une version savamment orchestrée de <br> « The Night Before ». Parmi ses sources d'inspiration, il faut <br> citer les chanteuses Petula Clark « Viens changer ma vie » <br> (Color My World), Marie Laforêt « À demain my darling », Dionne <br> Warwick « Quand un bateau pa e » (Trains And Boats And Planes) <br> et Dusty Springfield « J'aurai bien mon tour de chance » (I'll <br> Try Anything). <br> <br> Découverte féminine de l'année 1968 au Gala des artistes, elle <br> participe pour une première fois à la super tournée estivale <br> Musicorama aux côtés de Karo, Stéphane, Dick Rivers et Patrick <br> Zabé, ainsi que les groupes Les Lutins, Les Hou-Lops et les <br> Jades. Dans la mouvance de ces spectacles saisonniers, elle <br> grave succe ivement deux hymnes de circonstance en duo avec <br> Michel Pagliaro, qui vient tout juste de quitter les <br> Chanceliers. « Les vacances » se veut un des tubes de la <br> tournée 68 et l'année suivante le duo courtise les palmarès à <br> nouveau avec « C'est l'été », sur la nouvelle étiquette Spectrum <br> du producteur Denis Pantis. <br> <br> Devenue une des vedettes les plus adulées des adolescents, on la <br> retrouve de plus en plus souvent en première page des hebdos <br> artistiques et ce, quel qu'en soit le motif. Elle sait au i <br> gagner les plus grands et son auditoire se fait de plus en plus <br> familial. Qu'elle choisi e parmi les succès au go t du jour <br> comme « Nos jeux d'enfant » et « Le bateau du bonheur » ou <br> qu'elle rendre hommage aux chansons des années précédentes en <br> interprétant « Le temps du muguet » et « Embra e-moi » (Be My <br> Baby des Ronettes). Ce retour dans le temps, qui s'opère <br> naturellement entre l'artiste et son public, la rapproche <br> bientôt de la chanson country & western qui a baigné son <br> enfance. C'est toutefois sans nostalgie qu'elle aborde le <br> répertoire country de ses contemporains. <br> <br> Des auteurs-compositeurs comme Gene MacLellan et Buffy <br> Sainte-Marie deviennent de nouvelles références à son répertoire <br> au moment où elle entre dans l'âge adulte. Dès 1969, elle puise <br> chez cette dernière « The Circle Game » qui devient « La ronde <br> des saisons » puis un peu plus tard, en 1971, elle reprend à <br> son compte « Put Your Hand In The Hand », que MacLellan avait <br> confiée au groupe ontarien Ocean, en version québécoise. Sa <br> reprise devient l’immense succès « Prends ma main ». <br> <br> Dès ses premiers succès, parmi lesquels figurent « Je vais à <br> Londres » et « Johnny Angel », Renée Martel écrit elle-même les <br> paroles françaises de plusieurs de ses chansons ; une habitude <br> qui deviendra la norme dès 1970. C'est donc avec ses mots <br> qu'elle impose coup sur coup deux succès de facture purement <br> country au printemps et à l'automne 1972 : « Un amour qui ne <br> veut pas mourir », une version du groupe américain Delaney & <br> Bonnie & Friends et « Si on pouvait recommencer », l'adaptation <br> du succès « Just One Time» du légendaire Don Gibson. <br> <br> Ce faisant, la blonde chanteuse continue de faire le pont entre <br> les musiques pop et country ; deux genres musicaux qui se <br> côtoyaient tout naturellement au tournant des années cinquante <br> et soixante et ce, même chez des groupes pop comme les Beatles <br> et les Rolling Stones. Un tel rapprochement a également lieu en <br> 1974 entre la musique pop et la chanson d'auteur sur l'album « <br> Réflexions...» dont l'écriture est confiée à Marcel Lefebvre <br> (sauf une chanson signée Christine Charbonneau) et la musique à <br> Jean-Guy Chapados. L'album qui bénéficie également de la <br> présence de Marcel Beauchamp et de Michel Robidoux ne connaît <br> pas les succès de vente des précédents mais présente une <br> nouvelle facette de l'artiste qui y aborde des sujets <br> d'actualité. L'année suivante c'est Robert Charlebois qui lui <br> écrit une version de son cru d'un succès de Glen Campbell « <br> Rhinestone Cowboy», laquelle devient « Cow-Girl dorée ». Un <br> nouveau numéro un et un cla ique de la jeune chanson country au <br> Québec voit le jour. <br> <br> En 1977 et 1978, elle coanime l'émi ion « Patrick et Renée » en <br> compagnie de Patrick Norman sur les ondes de CFTM et du réseau <br> TVA. Au même moment, alors qu'une vague rétro déferle au Québec <br> mais également à l'échelle mondiale, elle reprend quelques <br> succès m ris par les ans: « Tu n'es plus là » (Blue Bayou de <br> Roy Orbison, réactualisé par Linda Rondstadt), « J'ai besoin de <br> ton amour » et « Quand va-t-on m'aimer » (Walk Right Back et <br> When Will I Be Loved des Everly Brothers), cette dernière <br> interprétée en duo avec Michèle Richard, son amie d'enfance. <br> Ayant rejoint la maison de disques de Guy Cloutier, elle <br> enregistre en 1980 un album en hommage à Connie Francis et à <br> Brenda Lee. En 1981, elle participe également à la tournée « La <br> grande rétro », en compagnie de Johnny Farago, René Simard, <br> Gilles Girard et du groupe Johnny Jet Black and the Comeback. <br> Entre-temps, elle maintient sa présence au palmarès avec des <br> succès dans une veine plus contemporaine comme « Darling » et « <br> El Lute ». <br> <br> En 1983, son album « C'est mon histoire » marque sa première <br> collaboration avec les disques Star et lui vaut le trophée Félix <br> de l'album country de l'année. La chanson titre est une <br> adaptation de « Nickels And Dimes», un succès mineur de Dolly <br> Parton qui connaît un bien meilleur sort dans son <br> interprétation québécoise. L'album renferme au i le futur hymne <br> des fans de musique country, qui donnera son nom à une série <br> télévisée retraçant les principaux jalons de l'histoire du <br> country au Québec. Cette chanson, « Nous on aime la musique <br> country», réunit pour une rare fois les voix de Renée et de ses <br> parents, Marcel Martel et Noëlla Therrien. L'année suivante elle <br> offre un ultime « Cadeau» à son public avant de prendre une <br> pause de plus de six ans, ayant choisi de s'installer au Maroc <br> où la mène le travail de son époux. Avant de partir, elle <br> participe une fois de plus à la tournée « Jeune e d'hier à <br> aujourd'hui », une rétrospective réuni ant une dizaine <br> d'artistes et rappelant l'époque de la célèbre émi ion de télé <br> mettant en vedette Pierre Lalonde et Joël Denis. <br> <br> À son retour, au début des années quatre-vingt-dix, elle entre <br> en studio et lance un nouvel album intitulé « Authentique», <br> celui-ci ne renferme que des chansons inédites. De 1994 à 1997 <br> elle anime « Country Centre-ville », une nouvelle émi ion <br> diffusée à la télévision de Radio-Canada et enregistrée depuis <br> Moncton. Elle y accueille l’ensemble des artistes du monde <br> country francophone. Ses obligations profe ionnelles <br> d’animatrice de télévision lui lai e moins de temps pour la <br> scène mais ce n'est que partie remise. <br> <br> À l'été 1997, elle reprend la route et prépare, l'hiver suivant, <br> un nouvel album consacré au travail des pionniers country & <br> western du Québec. L'album intitulé simplement « Country» <br> paraît en 1998 et est suivi d'un nouveau spectacle qu'elle <br> conçoit en hommage aux Paul Brunelle, Willie Lamothe et Marcel <br> Martel. Le sort ne lui permettra pas de terminer cette tournée, <br> suite à un accident qui l'immobilise pendant plusieurs mois. <br> Avant même qu'elle ne soit complètement rétablie, le décès de <br> son père et de nouveaux problèmes de santé l'amènent à réévaluer <br> son approche du métier. L'album « À mon père », consacré <br> entièrement aux chansons de Marcel Martel devient ce que <br> l’artiste croyait être son adieu à la vie artistique. <br> Ironiquement, cet album devait au i s'avérer le premier de sa <br> longue discographie à être certifié Or, atteignant des ventes de <br> 50 000 exemplaires, elle qui avait pourtant connu d'énormes <br> succès sur 45 tours au début de sa carrière. <br> <br> Au printemps 2002, elle publie une autobiographie avec la <br> collaboration de son fils Dominique Chapados, aux éditions <br> Publistar, sous le titre Ma vie, je t'aime. Elle y raconte son <br> cheminement personnel, sa carrière profe ionnelle sur cinq <br> décennies, et leurs incidences réciproques. <br> <br> En décembre 2006, alors qu’elle a quitté la vie artistique <br> depuis bon nombre d’années, l’artiste fait une rencontre <br> marquante, laquelle lui permettra ultimement de réaliser son <br> plus grand rêve : revenir sur scène. C’est en effet par pur <br> hasard que l’artiste rencontre l’impresario granbyen Pierre <br> Gravel, lequel avait déjà travaillé avec elle des décennies plus <br> tôt. Celui-ci lui propose de remonter sur scène et de commencer <br> à travailler sur un nouvel album de chansons originales. Avec un <br> nouveau gérant, un nouveau producteur et un nouvel agent, <br> l’artiste se sent revivre et travaille d’arrache pieds pendant <br> plus de trois mois à la préparation de son nouveau spectacle. En <br> mars 2007, devant la salle bondée et enthousiaste du <br> Vieux-Clocher de Magog, Renée Martel reprend ses fans là où elle <br> les avait lai és 9 ans plus tôt. Plusieurs ovations et rappels <br> plus tard, l’artiste et son gérant savent que le retour de la <br> chanteuse était attendu et que son public est toujours au <br> rendez-vous. <br> <br> Une tournée majeure du Québec et du Canada Francophone se met en <br> branle et les éternels complices musicaux de l’artiste (Marc <br> Beaulieu et Jeff Smallwood) se joignent à l’équipe du spectacle. <br> Au lendemain de sa rentrée Montréalaise l’artiste est comblée <br> par l’accueil que lui a réservé le public et les journalistes : <br> « Le miracle mérité […] Renée Martel resplendi ait, svelte et <br> magnifique, défendant avec joie, confiance, fierté, le <br> répertoire d’une vie. » prétend Sylvain Cormier du journal Le <br> Devoir, «On parlera plus seulement de retour, mais d’une <br> renai ance. » dit pour sa part Jean-Christophe Laurence de La <br> Pre e, « Renée Martel éblouit ses fans […] Le retour sur scène <br> de la chanteuse est réu i » conclut de son côté Philippe <br> Renault du Journal de Montréal. <br> <br> Fort de ce retour sur scène, Pierre Gravel souhaite maintenant <br> concrétiser le retour sur disque de l’artiste. Martin Leclerc, <br> collaborateur de longue date de Pierre Gravel International, lui <br> propose de s’a ocier en co-production avec la maison de disques <br> Musicor, l’une des plus importantes maisons de disques au <br> Québec. Le résultat est saisi ant. Quatorze chansons composent <br> ce nouvel album intitulé L’héritage, un album qui se veut en <br> quelque sorte le résultat de précieuses rencontres artistiques <br> qui ont mené entre autres à la collaboration de deux grands de <br> la chanson d’ici. D’abord celle de Richard Desjardins (À un <br> coeur de cristal) qui lui a écrit une chanson et qui <br> l’interprète avec elle, puis celle de Robert Charlebois avec <br> lequel elle chante également en duo, expérience que les deux <br> artistes ont vécue ensemble il y a plusieurs années. <br> <br> L’événement est d’autant plus important qu’il s’agit du premier <br> album de l’artiste composé entièrement de chansons originales <br> depuis 1992. Dans cette nouvelle production réalisée par Marc <br> Péru e, Renée Martel désire plus que jamais transmettre son <br> héritage en s’appuyant sur celui qu’elle a reçu et qui lui a <br> permis de construire une carrière d’exception. <br> <br> Désireuse d’élargir ses horizons et d’embra er la vie dans tout <br> ce qu’elle peut lui offrir, Renée Martel lai e une grande place <br> aux auteurs et compositeurs émergents dont Éric Goulet, <br> Catherine Durand, Andréanne Alain et Daniel Beaumont, qui a <br> écrit pour Tricot Machine. Il en résulte un album qu’on découvre <br> comme un coffre au trésor rempli de pièces uniques, nées de <br> nouvelles alliances, celles-là même qui donnent des élans vers <br> le dépa ement de soi, l’enracinement dans la vie et <br> l’authenticité. <br> <br> Avec L’héritage, Renée Martel peut au i compter sur son fidèle <br> complice, Marc Beaulieu qui a ure la direction musicale, et sur <br> une équipe de musiciens chevronnés dont: Jeff Smallwood, Pierre <br> Côté, Sylvain Quesnel, Jean-Guy Grenier, Daniel Hubert et Justin <br> Allard. <br></font><br><br><embed pluginspage="http://www.macromedia.com/go/getflashplayer" src="http://www.estvideo.com/dew/media/dewplayer.swf?son=http://storage.live.com/items/50A9B6E90D9F281A!447?filename=04-renee_martel--je_vais_a_londres-wus.mp3&autoplay=yes&loop=yes" type="application/x-shockwave-flash" wmode="transparent" height="20" width="200"><br><br>**** Hidden Message *****<div_prefs id="div_prefs"></div_prefs>